Couture

Ma nouvelle robe d’amouuuur !

En faisant les soldes avec ma maman, j’ai essayé une robe que j’adorais mais … en y réfléchissant bien, j’avais justement un tissu et un patron tout-à-fait similaires à la maison. Dommage donc d’aller dépenser son argent, alors qu’il y avait justement une bonne raison pour se mettre à sa machine à coudre. Voici les modèles originaux :

Jolie, non ? J’adore cette couleur vert-de-gris, l’encolure près du cou devant, et les découpes dans le dos. Ni une, ni deux,  je suis rentrée, j’ai fouillé mes Burda, et je suis retombée sur le patron que j’avais en tête.

Ça y ressemble, non ? J’ai sorti mon matériel, ma machine et, très motivée, me suis mise à l’ouvrage. C’est une robe classée « Facile, mais nécessitant des connaissances en couture » par Burda. A ma portée donc. 

Je ne l’ai effectivement pas trouvée très difficile (à part l’une ou l’autre explication un peu tordue pour la réalisation du dos), et elle a été faite en quelques jours.

Et voici le résultat final. Je suis particulièrement contente du résultat, pour une fois à la hauteur de mes espérances. Elle tombe très bien, le devant est super-beau, la découpe du dos aussi, la longueur impeccable, … Bref, je l’adore !

Les finitions sont très bien. J’adore en particulier la doublure du corsage, qui donne un fini impeccable et professionnel (mais qui prend un peu de temps à réaliser, il faut bien l’avouer) et qui rend la robe très confortable. 

J’en profite pour vous présenter mon dernier achat (ben oui, si je fais des économies d’un côté, j’ai droit à une petite folie de l’autre) : Céline, mon nouveau buste de couture. Je sens qu’on va bien s’entendre elle et moi. Ne reste plus qu’à s’accorder parfaitement (point de vue mesures, je parle).

Au départ, un peu flemmarde, j’avais surpiqué les biais d’emmanchure, au lieu de les coudre à la main dans la doublure, comme préconisé par Burda. Mais la finition en prenait un coup. Je me suis donc levée tôt ce matin, pour la recoudre à la main, au point invisible, et enlever cette moche surpiqûre. Voici la différence entre les deux. On voit encore la trace de la surpiqûre, mais ça partira au lavage. C’est quand même beaucoup plus chic, non ?

Et voilà donc mon coup de coeur terminé. J’en suis très fière, car elle correspond exactement à mes attentes. J’attends avec impatience une occasion de la mettre. J’espère qu’elle vous plaît aussi !

Modèle: Robe 117, Burda avril 2017

Tissu: Coton vert-de-gris (marché du tissu, 6 €/m), cotonnade très légère blanche pour la doublure (Veritas, 2,95 €/m)

8 Comments on “Ma nouvelle robe d’amouuuur !

  1. Bonjour, j’essaye moi aussi de réaliser ce modèle, mais je dois dire que l’explication concernant la parementure du dos me laisse perplexe… Pourriez vous éclairer ma lanterne car je bloque à cette étape et j’ai beau essayer de plusieures façons, je ne trouve pas la solution… Merci d’avance, Sophie.

    1. Bonjour,
      Merci pour votre intérêt dans mes réalisations !
      De ce que je me souviens, il faut d’abord coudre la parementure dos au milieu (la partie qui est dans le trou), en laissant les autres côtés libres. Ensuite, assembler la jupe avec le dos, et seulement à ce moment finir les parementures, en les assemblant avec l’ensemble jupe + dos. Je ne sais pas si je suis claire. J’ai dû relire l’explications quelques fois, mais on finit par y arriver 🙂
      Bon courage !

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